Si un jour on ne me reconnais plus,
Que je ne fais que parler de culs.
Que les filles ne me font que bander,
Que je n'arrive pas à en rêver.
A ce moment là dis le moi,
Ça m'évitera de me jetait du haut d'un toit.
Parce que je verrais que je me comporte comme ces tarets,
Qui ont passé leur enfance à me rabaisser.
Aujourd'hui je veux me faire respecter,
Tout en gardant les leçons du passé.
Ne rien forcer, laisser couler.
Essayer de s'entraider.
Si après tes remarques j'ai encore tort,
Il ne restera qu'une solution la...

J'y pense tout le jour,
Je veux pas parler d'histoire d'amour.
Elle a fait le premier pas.
Maintenant elle fait tout pour s'éloigner de moi...
Tu vois, si ça va pas, c'est à cause de ça.
Regarde autour de toi,
Tout les printemps qui pousse.
Au bout d'un moment j'ai la frousse,
Frousse, de me retrouver seul,
De me faire flinguer à Auteuil.
Sans avoir grandi,
Avec ma demi...
Et n'avoir sur ma tombe,
Aucune plaque d'amour qui surplombe...

Une lumiére, un arbre, une fleur,
Toujours un mot pour donner de la chaleur.
Calimero d'un soir,
Arrive toujours à sortir de son desespoir.
Nebule d'un printemps,
Attendant son prince charmant.
Cendrillon d'une nuit,
Un espoir dans nos vies.
Libellule d'un lac,
Ta lumiére m'épate.
Rose dans mes proses,
C'est pour toi que je compose.
Je t'écris ces quelques vers,
En l'honneur d'une longue amitié,
Du moins je l'espére...

Étrange, n'est-ce pas, la vie qui est la mienne,
Bizarre aussi, les souvenirs qui me reviennent,
Sourire, soupir, choisir, soutenir, partager.
Non, jamais aucun ne m'a été enlevé.
Toujours je me souviendrai, ces pierres qu'on me jetait,
Toujours je reverrai, ces regards qui me fouettaient.
Jamais encore, je n'ai pu dire, ça, ça vaut un sourire,
Jamais personne ne m'a jamais dis, dans un soupir
Je t'aime pour ce que tu es et non pour se que tu fais.
La vie n'est pas dure qu'avec les ordures,
Elle l'est aussi avec les gens qui l'ont dur...
La vie n'est pas forcément un cadeau,
Il y a plusieurs faces à ce fardeau,
Mais une fois que c'est décidé,
Ton sort est fixé...

Croire en un espoir.
Se raccrocher à une inutilité.
Vouloir voir de l'autre coté du miroir.
La vie n'est peut-être simplement qu'une nécessité...
La seule dont l'on ne peut se débarrasser...
Il faut la laisser s'écouler,
Sans jamais rien espérer...
J'ai juste envie,
"Envie d'avoir envie!"
Mais pour quoi? Pour qui?
On n'a rien à gagner...
Juste le choix de ta façon de crever...

En quoi les gens ont besoin de moi?
Que fais je ici?
Régler tous leurs petits soucis?
Je ne veux pas vivre rien qu'avec moi!
Mais avoir un peu d'aide parfois.
On me demande des conseils, no probleme,
Je demande des conseils, démerde toi même...
Maintenant mon objectif à moi!
Grandir sans être un poids.
Grandir en pouvant soutenir...
Mais avoir le droit à des soupirs...
Je veux pouvoir aimer comme autour de moi,
Mais tout seul c'est impossible tu vois...
Le jour où quelqu'un, pour moi, éprouve de l'amour,
Qu'elle ouvre les yeux et vois les risques qu'elle court...

Je voulais juste m'excuser auprés des personnes qui ont pris le début du poéme pour eux mais j'était énervé mais qu'ils sachent que je ne pense pas forcément ça d'eux.

Ça y est, ça faisait longtemps...
Besoin de penser pendants un moment.
Qu'est ce qui est pire?
Qu'est ce qui est mieux?
Vivre sans mentir?
Vivre vieux?
Pourquoi une si belle vie pour eux?
Pourquoi vie de rat pour moi?
Facile de dire ça...
Mais oui, ma vie je l'aime pas.
Il faudrait me montrer la façon de m'aimer,
Dans quel sens m'aborder?
Je suis le premier à ne pas me cerner,
Et je voudrais être apprécié!!

Pourquoi ne pas l'avouer?
C'est sur toute ma vie je mentirai...
Mentir pour moins souffrir,
Mentir pour se voir supérieur à ce qu'on vaut,
Mentir pour ne pas voir le bonheur autour de nous.
Mentir pour ne pas mourir...
Mourir de désir,
Pour la personne qui t'inspire.
Mentir pour croire à un signe, un geste,
Et ne même pas récupérer les zestes...

Juste en une seconde,
Elle m'a fait perdre la notion du monde.
C'est encore pire,
Que tout se que j'aurais pu prédire.
Son sourire m'a illuminé?
Alors que j'était déprimé,
Son regardé a brillé,
Comme si c'était un excés.
Elle m'avait rejeté,
Elle s'est presque escusé.
Je crois que j'ai flashé.
J'ai pourtant essayé de décrocher..
Je suis soudé, collé.
On ne pourra pas me l'enlever.
C'est la premiére fois que ses mots,
Attende une réponse de mes mots.
Je veux y croire...
Mon dernier souffle d'espoir...

Chercher des gens bien partout,
Pour ne pas se sentir seul nul part.
Vouloir des mots doux,
Pour ne pas se sentir seul le soir.
Aimer être avec ses amis,
Pour ne pas rentré chez soi.
Ne pas vouloir d'ennemis,
Pour avoir tout le monde avec toi.
Ne pas aimer la vie,
Parce qu'elle ne nous à rien promis.
Ne pas s'aimer soi-même,
Par peur de décevoir ce qu'on aime.
Vouloir réussir dans la vie,
Pour savoir ce qu'on fait ici.

Aucune action n'est innée,
Elle est inconsciemment méditée...

Aujourd'hui je n'ai pas envie d'écrire de poèmes ou de poésies, j'ai juste envie de dire:

Encore un printemps...

Je vais expliquer ce que représente pour moi le printemps. Tout d'abord lorsque l'on dit " Il a 15 printemps " ça représente l'âge. Donc oui j'ai un printemps de plus dans trés peu de temps (exactement 27). Mais le printemps c'est aussi la saison des amours (c'est bien connu), donc il y a de nombreux nouveaux couple en cette période. En fait je devrais écrire : Encore un printemps sans printemps. Mais dans cette phrase je veux montré que certaine personne entre plus vite dans le monde des " grands " juste parce qu'ils ont ce qu'ils appelleront plus tard une moitié(e). Mais d'autre (je ne me sens pas visé) seront plus long car ils n'ont pas de " moitié(e) " ou alors ils ne font que s'entraîner pour la vie qu'ils vont passer : seul, monotone, en étant (seulement) ami de couple. Alors oui le printemps ça me fou le cafard et j'espére ne pas l'avoir trop longtemps soit en trouvant quelqu'un de sourd et d'aveugle qui veut bien de moi ou alors tout simplement en m'habituant à la solitude...

Encore un printemps sans printemps...

La seule chose que la vie m'inspire,
C'est un soupir.
Les sourires que l'on me fait volontiers,
C'est des sourires de pitié.
Quand on me dit que je suis quelqu'un de bien,
C'est pour que je ne me noie pas dans mon bain.
La seule chose que j'ai le plus envie,
C'est partager ma vie.
La seule chose que je montre,
C'est le dégoût, la honte.
Si jamais je ni arrive,
Il restera la solution de l'autre rive.

Un jour je te reconnaîtrais : ce sera TOI
Un jour je chercherais le mieux : ce sera TOI
Un jour j'aurais besoin de quelqu'un: ce sera TOI
Un jour je blesserai quelqu'un : ce sera TOI
Un jour je demanderais pardon un quelqu'un : ce sera TOI
Un jour je consolerais quelqu'un : ce sera TOI
Un jour que je ne te verrais pas,
Je penserais à quelqu'un : ce sera TOI
Un jour où la vie est dure,
Mon épée d'Escalibure : ce sera TOI
Un jour je dirais "je t'aime" : ce sera pour TOI
Un jour peut-être tu ne me contrediras pas : ce sera MOI & TOI

Tellement de gens on dit que j'avais un sale devant...
Tellement de gens m'ont traité d'ignorant...
Tellement de gens ne veulent pas que je fréquente leurs enfants...
Et aujourd'hui on vient me dire,
Que ce ne sont que des souvenirs.
J'aimerais savoir si, un soir,
Je pourrais jouer du hasard,
Ou alors suis-je fait pour rester vieillard?
Aurais-je une vie monotone comme l'hiver?
Volais au grés du vent, toujours dans l'air?
J'aimerais me posé, pourquoi pas avoir un Toi(t),
Mais ça ce n'est pas pour moi,
Ça c'est pour les gens bien,
Je resterais dans l'air,
pour que personne ne se laissent faire,
Et un jour peut-être,
J'aurais le droit d'être...
Être pour ne plus paraître...

Pourquoi des bâtards nous boivent notre pinard?
Ils se croient supérieurs parce qu'il gère l'heure,
"J'veux ça, là-bas, à s'moment là!"
Mais de quel droit?
Ils nous ont demandé notre avis,
Pour commander nos vie?
"J'veux ça, ici, c'est ce que j'avais dit!"
Forcément ils ont toujours raison,
Sérieux on nous prend pour des bouffons!
Faut ce révolter contre les inégalités
Même si c'est pour tous gérer.
On fera pas les mêmes erreurs,
Que ceux qui nous commandait 35 heures
Par semaine,
Tous ça pour soulager leur peines.

Si tu crois en toi!
Dégage de là!
Crois pas que ça évolura!
On est fait comme des rats!

Moi j'veux me barrer!
Mais il y a du monde à raisonner!

Allez c'est fini on stop tout,
Ou alors on les vire tous!
Viens avec nous!
On va leur montré qu'on n'a pas la frousse!

Allez c'est fini!
Tout est mort!
Même la vie!
On a tous eu tort!

Allez c'est fini,
On se jette...
On saute tous par la fenêtre...

Un jour Dieu pardonnera tous ces rats,
Qui n'ont pas fait du mal qu'à moi,
On veut réduire les inégalités,
Pourvu qu'on puisse dominer, s'exciter, se masturber!
Tous pour jouir d'un pouvoir,
Pour se faire valoir,
Qu'on est con on veut pas le savoir,
Les autres sont bons pour les pissoirs
On avait voté pour ni Dieu ni Maître...
Aujourd'hui on s'est tous fait mettre!

A mort le pouvoir par ces bâtards!
Tous ce qu'on veut c'est pouvoir s'éclater sans être rejeté!
A mort tous ces bouffons qui nous prennent pour des cons!

J'ai pas d'inspiration,
Peut-être un manque de passion...
Mes amis sont ma seule raison de vivre,
En espérant que je les fasse pas souffrir...
Sans eux je ne suis rien,
Sans eux je ne vaux rien,
Merci de m'avoir fait savoir,
Que dans la vie il y a toujours un espoir,
De m'avoir fait comprendre qu'il faut toujours être fier de soi
Même si tu ne vaux pas un pois.

Pourquoi il y a des gens comme moi?
Pourquoi il y a des gens qui m'aiment pas?
Pourquoi je dois supporter ça?
Toujours vouloir porter des poids!
Qu'ai-je fait à toi qui me respecte pas?

Se sentir rejeté,
Alors que l'on est entouré.
Se sentir écarté par les autres...
Alors que leur amitié nous porte!
Se sentir lourd en parlant,
Se sentir triste en se taisant,
Que vaut l'amitié quand elle n'est perçue,
Que par des entrevues?
Serait-elle perdue?
Ou ne demande-t-elle qu'à être reconnue?
Que vaut l'amitié,
Quand-elle est transformée?
Transformée en Amour,
Pour quelqu'un que l'on attend toujours...